Pays sauvage

Je l'ai trouvé au Virgin de la gare Montparnasse en sortant tout à l'heure du concert d'Inter... Je l'écoute tout à l'heure histoire de me bercer...

Le cd est un merveille, j'ai failli pleurer avec pays sauvage qui est encore mieux qu'avant, un bijou, j'adore aussi de chanson sur la pluie, elle est trop relaxante avec la flute!!!!!! Le livre est magnifique avec de belles images dans une foret (mon endroit préféré) enfin bref parfait parfait parfait!

Oui moi aussi je commence à m'habituer aux ambiances de l'album, et, derrière certains arrangements sur lesquels je m'étais tout de suite focalisé (voire braqué), je commence à retrouver Emily et ce que j'aime dans ses chansons... Maintenant pour certains titres on est vraiment à mille lieues de ce qu'on pouvait imaginer de cet album...

Enfin ça y est je l'ai !

Je suis passé à la Fnac tout à l'heure et j'ai pris l'édition collector avec le CD Bonus 4 titres. Un très beau livret avec des très belle photos.

Je n'ai pas encore tout écouté mais j'avais écouté le concert sur France Inter, j'ai tout envoyé dans mon baladeur ( on a le droit, M. Nègre ? ) et ça a l'air formidable... pas que ce soit une surprise mais bon...

C'est musicalement très riche, ça me plait beaucoup même si j'étais très fan de la simplicité de l'album précédent et du minimalisme du tout premier.

En revanche j'ai pas pu aller au Show Case Fnac... c'est pas très avantageux d'avoir du boulot, finalement...

Emily et les "bons" sauvages.
Ahhhhh
enfin l'album est sorti.
Mes impressions sont résumés dans les smileys.
De la tendresse, de la folie, de la belle musique, des surprises.
Dans le monde d'Emily je ne m'ennuie pas. Elle sait croiser et s'entourer de bons de très bons; me (nous??) faire découvrir d'autres différents et si proche de son 'monde' qui est un peu le mien (le notre???).
Plusieurs fois à l'écoute je l'ai interrompu (dans ma grande impolitesse) en disant p... que c'est beau surtout quand sa voix s'efface et laisse une petite voix haute perchée (Jocelyn West ou Rosemary????).
Plus rythmé, toqué, martelé (je parle du son, mais pas que...).
Ne me demandez pas celle que je préfère, j'aime toutes ses chansons mais avec en plus des préférences.

Elle "agace et charme" Télérama 3082 qui se demande sur l'utilité de tant d'invités. Il conclut ;< EYLZ n'a pourtant besoin
d'aucun artifice pour faire de très belles chansons, et il en a aussi, sur ce disque. On en reparlera. Valérie Lehoux>

Emily est oizeau, tortue qui prends son temps, grenouille dans l'eau salée du coin de mes yeux mouillés.

En effet, cet album est vraiment bien réussi, je l'écoute de nombreuses fois depuis ce fameux lundi 2 février .

Et aujourd'hui, je viens de recevoir le vinyle de "Pays Sauvage", il est vraiment beau aussi, formé d'une partie s'ouvrant en 2 avec en photo toute la troupe de l'album à la fille indienne (photo que l'on peut trouver sur le net...) enfin bref, un bel album très agréable sous forme vinyle également...

Critique très favorable au disque...

http://musique.fluctuat.net/emily-loizeau/pays-sauvage-alb17108/5271-chronique-Emily-Loizeau-Pays-Sauvage.html

Reçu le vinyle aussi aujourd'hui...
Très bel objet en effet, même si secrètement j'attendais plus de photos grand format...

Mais déjà la satisfaction d'écouter Emily Loizeau en vinyl sans craquement aujourd'hui, et dans 20 ans, le même bonheur sans doute de l'entendre avec les craquements

cyrlouez, ce qui est tout de même plus agréable qu'un CD rayé !

cyrlouez a écrit:

Reçu le vinyle aussi aujourd'hui...
Très bel objet en effet, même si secrètement j'attendais plus de photos grand format...

Tu vas rire (ou pas!) mais je pense qu'inconsciemment j'en espérait aussi un peu plus, parce que la nuit d'après l'avoir reçu, j'ai rêvé que j'avais pas bien ouvert le vinyle et qu'il y avait une sorte de "livret" avec d'autres photos... tsss

Bah oui, là pour le coup il y avait la place de faire un vrai beau grand livret... Tant pis...


Sinon, concernant l'album et les critiques qu'il reçoit, je pense , comme certains critiques, qu'il est très complexe. Dans un sens c'est positif, les couleurs musicales sont variée et recherchées, et le tout est original. Mais à force de chanter d'une voix qui semble souvent forcée ou faussée, à force de combler le vide par des choeurs ou des percussions, des rythmiques certes élaborées mais parfois déstabilisantes, il me semble qu'on y perd en spontanéité et en naturel, ce qui est le comble pour un album au final très acoustique... Cela étant dit, c'est un bel album, et j'ai plaisir à l'écouter !

Je m'interroge aussi concernant la scène. Les premiers échos qui filtrent font état d'un grand nombre de musiciens sur scène (comme lors du concert de France Inter d'ailleurs, donc je ne crois pas révéler grand chose), et j'ai une légère appréhension: et si la performance remplaçait l'émotion, comme ce fut le cas avec la tournée de Camille ? Car il semble bien , comme on l'a vu à France Inter, qu'Emily défende son projet sur scène avec la même ambition: celle de la richesse musicale...
De plus, les contraintes matérielles de ce type de projet m'effraient un peu en ces temps de crise (le bus pour 15 personnes, les frais divers et variés pour les organisateurs, pour loger et nourrir tout ce petit monde (et les payer, accessoirement), trouver des scènes suffisamment grandes et équipées pour faire tenir ce petit monde, ne pas alourdir les frais pour les spectateurs (qui, eux, risquent de ne pas vouloir voir Emily à n'importe quel prix...) Et puis j'ai peur aussi que la fantaisie soit moins présente, car lorsqu'on est 10 sur scène, on peut moins improviser ou réagir à quelque chose... Ou alors c'est fantaisie calculée et improvisation préparée, ce qui n'est pas de la spontanéité la plus spontanée... Bref, autant de questions ou d'appréhensions qui , j'espère, sont infondées ...

En tout cas j'attends avec impatience Sannois pour lever mes doutes et retrouver l'unviers d'Emily et tout ce que j'aime dans ses spectacles...

Première fois que je vois la fnac faire une "promo" pour un artiste tel Emily...
Fnac

sans etre devin, et sans en avoir pu discuter avec l'interessee, je pense qu'Emily va créer 2 tournées : l'une avec "l'orchestre" (peut etre pour les festivals, grandes scenes and co), et l'une en version reduite. Ce qui serait fort logique vu les premieres dates (EMB, fin février), ou sur cette scene, etre deja à 4 releve de l'exploit.

Contrairement à toi Cyril, je trouve que cet orchestra bordello me ravit tout à fait : je suis fan des musiques riches, foisonnantes, et c'est un sacré contre courant qu'elle prend la : la folk en general, on se contente d'une belle voix et d'une guitare, et hop, l'affaire est dans le sac. La il y a un truc démesuré pour le style, finalement bien plus proche du gospel et du blues que de la folk ... il suffit d'ecouter le final d'in our dreams en live pour comprendre que l'exercice n'est ni pretentieux, ni superflus, mais bel et bien une exploration nouvelle.

Tout le monde s'attendait - moi le premier - a un ABDM part II. La, elle ose, c'est le moins qu'on puisse dire, casser tout ce qui a fait son succes. C'est couillu, comme dirait l'autre

Hé ho!!!!!!! Cyrlouez et Rod vous z'allez pas commencer à tirer des suppositions sur ses spectacles.
Je prends les spectacles d'Emily comme ils viennent. Confiance ayezzzz confia-iance
En nombre a Inter c'était très bien et à St lazare avec Olivier et Matis c'était bien aussi.
Et seule avec son piano c'était super dans la tournée 2007 Alors

Dans Libération du 3 février

Musique 3 fév. 6h52
Emily Loizeau à tire d’elle

Chanson. L’artiste franco-anglaise, très entourée pour son deuxième disque construit entre Paris, l’Ardèche et la Réunion, trouve l’équilibre ambitieux entre tonus et gravité.

gilles renault

Emily Loizeau CD : Pays sauvage (Universal/Polydor). Concert à l’Alhambra, 21, rue Yves-Toudic, 75 010, les 4, 5 et 6 mars.

Combien de temps faut-il pour aller de l’Autre Bout du monde au Pays sauvage ? Environ trois ans, en passant, entre autres, par Paris, l’Ardèche et la Réunion. Identifiée au milieu des années 2000, Emily Loizeau a fait un sacré bout de chemin. Dès la première fois qu’on l’avait vue sur scène, assurant une première partie dans une minuscule salle parisienne de Belleville, cela paraissait évident. Mais l’industrie musicale étant ce qu’elle est (parfois patraque, versatile, pas toujours d’une extrême vivacité), la chanteuse franco-anglaise originaire de Seine-et-Marne a dû y aller piano - l’adverbe fusionnant ici avec l’instrument en compagnie duquel elle a grandi - avant de saisir sa chance.

Etudes de philo, école de théâtre à Londres, approche de la mise en scène dans le sillage d’Aperghis et signature sur Fargo, le petit label français américanophile régulièrement cité en exemple, Loizeau décolle début 2006. Son disque d’ouverture, l’Autre Bout du monde, se vend à plusieurs dizaines de milliers d’exemplaires, sa collection de comptines folk délurées plaît, à juste titre. En pleine floraison féminine (Anaïs, Pauline Croze, Jeanne Cherhal, etc.), la scène scelle son essor à travers des salles de plus en plus grandes et enthousiastes. Fin du premier chapitre.

«Réponse». Mi-janvier, la menue trentenaire situe ainsi la suite, dans son appartement parisien du quartier des Buttes-Chaumont : «Les chansons de Pays sauvage figurent une forme de réponse à celles de l’Autre Bout du monde. Elles entérinent le deuil de ce rêve où je retrouvais mon père, disparu en 1998, dans une contrée où il vivait encore. J’ai souhaité garder les mêmes images, la même sémantique, avec une nouvelle approche géographique, à la fois plus sereine et plus brutale. La douceur s’en va, le souvenir s’estompe, il devient question de renaissance, de recommencement.»

Assis à côté d’Emily Loizeau, il y a Arthur B. Gillette, l’affable guitariste impliqué avec son groupe Moriarty dans l’enregistrement de quatre titres du disque. Un peu embarrassé par la tournure intime du propos, il suggère de s’absenter. «Non, au contraire», tranche la chanteuse, qui a voulu un deuxième album explicitement communautaire. «Je suis une grande solitaire quand j’écris. Mais, dans ma famille, l’univers théâtral est très présent. J’ai été nourrie par ce concept de troupe, de tribu. J’avais envie de ça, comme une forme de célébration de la musique telle que j’ai pu la percevoir, par exemple, dans les Seeger Sessions de Bruce Springsteen. Je crois assez fort dans la notion de groupe - ce qui est aussi une façon de se protéger de toute cette morbidité qui entoure actuellement l’industrie du disque.»

Canne à sucre. Partie dans la major Universal, Emily Loizeau bénéficie de moyens accrus. Ne pas confondre tournure «hippie» revendiquée et bouts de chandelle. Les frusques romantico-bohèmes illustrant le livret «Coco-roseau» ont beau sembler sortir d’une malle du grenier, pas moins de quinze personnes sont créditées («merci à Paul Smith, Jean-Paul Gaultier, Lanvin, American Retro…») et c’est Mondino qui appuie sur le bouton.

Avec Elodie Maillot, elle enregistre des sons à la Réunion, vent dans les champs de canne à sucre ou cérémonie tamoule. Dans sa maison de campagne, en Ardèche, elle peaufine sous la pluie de l’hiver une approche «plus ludique, intuitive et rythmique, utilisant à l’occasion le plancher, une casserole ou un paquet de corn flakes». Les collaborations s’accumulent, ponctuelles (Thomas Fersen, Danyel Waro…) ou plus suivies, comme avec David-Ivar Herman Düne et donc la clique Moriarty. Chevalier servant, Arthur détaille simplement la rencontre : «La première fois qu’on l’a croisée, c’était à Châteauroux. Elle était sur scène, en fin de tournée, un peu éreintée et elle a joué deux heures et demi. Nous, on commençait juste. Puis on s’est revus dans deux autres festivals et nous avons accroché avec cette fille un peu étrange, à cheval comme nous sur deux nationalités. Notre planning était très serré, mais jouer avec elle, comme nous l’avons fait avec un quatuor classique ou un joueur de luth malien, s’apparente à des vacances.» Une ou deux répétitions ensemble, du travail sur les arrangements, des échanges par mails et Emily Loizeau et Moriarty se retrouvent en studio pour enregistrer quatre chansons, à raison d’une par jour. «Il y avait comme une forme d’évidence», disent-ils, sans que leur sincérité prête à caution.

Soul rurale. Sans renier ses antécédents, Emily Loizeau a étendu sa gamme. Folk bastringue, negro spiritual, soul rurale, sa voix ample couvre un vaste registre. Une fois encore, elle puise copieusement dans l’univers de l’enfance. La «pluie qui mouille» rime avec «l’air d’une nouille» (la Dernière Pluie), The Princess and the Toad paraphrase la fable, «les vaisseaux de corsaires» du Cœur d’un géant accentuent le style évocateur et habillent le propos, plus qu’ils ne le travestissent.

«Je me sens proche du song writing anglo-saxon par sa capacité à être brut, primitif, précise Emily Loizeau. De même, la littérature enfantine continue de me toucher énormément. Elle recèle la cruauté, l’angoisse, la noirceur exprimées dans une forme recevable mais qui, l’air de rien, reste parfois d’une méchanceté infinie. Quand j’écris la Femme à barbe, je passe par un personnage pittoresque, une freak, une bag lady comme disent les Anglais, et une rythmique foraine, pour évoquer la déchéance et la solitude et l’abandon qu’on croise de plus en plus souvent dans les grandes villes comme Paris.»

Quand elle fait l’inventaire, Emily Loizeau préfère la troisième personne à la première : «On a fait le disque qu’on voulait.» Le jour de la rencontre, cependant, elle avait acheté une galette dont, fatalement, elle serait la reine.

J'ai découvert aujourd'hui cet album d'Emily loizeau,mon premier car je n'ai pas encore écouté son premier que je recevrais normalement demain par la poste ( y'a interet!!!) et je découvre un univers particulier et très intéressant, Emily arrive a varier entre les chansons amusantes ( La femme a barbe, The Princess and the Toad), ainsi que des chansons plus lourdes et touchante ( Songes qui est pour moi une pure merveille!) tout en variant entre la langue de molière et la langue de Sheakespeare. Mention spéciale à Coconut Madam que je trouve trop bien ( en ne sachant pas pour quel raison ).

Pour ce qui est des concerts, j'ai vu le concert de France Inter avec beaucoup de monde sur la scene ( concert que tout le monde a vu a priori ) , mais j'ai aussi vu Emily hier en showcase à Lille accompagné seulement de Tatiana ( batterie) et pour une chanson d'un guitariste et je trouve qu'en petit comité elle arrive à mettre une ambiance par sa présence ( meme si c'est vrai qu'on est vraiment dans une petite salle pour ce showcase), elle a un coté touchant et charmant tout en ayant une force sublime (comme sur la chanson : Fais battre ton tambour qui en live est magnifique à entendre par la conviction de Emily en la chantant). Voila mon avis pour cet album.

Entretien d'Emily Loizeau et Sophie Delassein dans le Nouvel Observateur paru aujourd'hui, bref mais intéressant.
J'ai la version papier mais je n'ai pas trouvé le lien.

IsabelleH a écrit:

Entretien d'Emily Loizeau et Sophie Delassein dans le Nouvel Observateur paru aujourd'hui, bref mais intéressant.
J'ai la version papier mais je n'ai pas trouvé le lien.

Décidément les "liens" avec Lady Emily sont difficiles, c'est qu'elle ne s'attache pas facilement et en plus tu sais "Elle est jalouze."

http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2310/articles/a394487-.html?xtmc=emilyloizeau&xtcr=1

où elle parle du passé, du présent et de l'avenir.....des lapins bleu.

http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/20090205.FAP2679/?xtmc=emilyloizeau&xtcr=2

également dans la rubrique 'les sorties de la semaine'

Après 10 jours de visionnements de la vidéo du concert privé de France Inter, je vous soumets le hit parade du nouveau CD (du moins les 9 chansons interprétées) :

"Pays Sauvage" et "Fais Battre ton Tambour" en tête (22% et 16%)

Ensuite, "Tell Me That You Don'Cry", "Coconut Madam", "In Our Dreams" et "Sister" (12% à 9%)

Pour finir "Ma Maison" et "Dis Moi Que Tu Ne Pleures Pas" (7% et 5%)

Mais comme c'est aussi assez proche de l'ordre chronologique du concert, cette statistique ne vaut pas grand chose !

Bonjour à tous, ceci est mon premier post sur ce forum alors je fais z'un vœu...
'a y est.

Alors il y a peu de temps j'ai reçu le sms d'un ami me disant que le soir-même Emilie Simon était en live sur France Inter...
Mais en fait c'était une erreur heureuse qui m'a permis de vous découvrir.
Et depuis vendredi je dors avec "Pays Sauvage"

J'aime les chansons, l'ambiance sonore en fond entre chaque titre, ce que l'ensemble dégage et je ne me souviens pas avoir autant accroché aux paroles d'un artiste (et le duo avec Danyel Waro, génialissime!).
"Songes" me touche particulièrement, et, sauf erreur de ma part, il me semble qu'il fait référence à ce que vous, Emily, avez vécu et raconté lors d'une interview au sujet de rêves particuliers.
Il se trouve que j'en ai eu des similaires, et grâce à vous j'ai enfin une réponse.

Alors pour ça, vos belles chansons, votre belle voix, votre univers sonore et votre joli visage: merci

J'ai acheté aujourd'hui l'édition collector à la FNAC (très bel objet) et par la même occasion l'édition collector 'A l'autre bout du monde" que je n'avais pas ! (il n'en restait qu'un exemplaire de chaque !).

1ère écoute, 1er titre : oh là , qu'est-ce qui se passe , je passe, 2ème titre pareil...
Pour les autres titres, peu me font un echo tel que sur les précédents titres... Le CD bonus me réchauffe un peu le coeur

Bref, après de nombreuses écoutes, je n'accroche pas: world music, arrangements... mais probablement qu'il s'agit pour emily d'explorer de nouvelles voies artistiques, et cela va probablement plaire à beaucoup et attirer d'autres personnes.

Je vais donc attendre le prochain album et me consacrer à mon nouveau coup de coeur en attendant: Kina Grannis (et bien sur ré-écouter les précedents titres d'émily et continuer la suivre mais d'un peu + loin )

Bon vent dans ce nouveau pays sauvage

donc apres avoir ingurgité l'album (que jevais chroniquer des que j'ai mon appart ...)

Ma Maison est ma préférée et de loin.

J'avoue que les deux-trois premières écoutes m'ont un peu déstabilisé mais je l'ai adopté. Les morceaux sont excellents (il n'y a guère que le duo avec Fersen qui me laisse un peu indifférent). J'aime l'idée qu'Emily se soit lancée dans une direction où on ne l'attendait pas. Elle aurait pu faire un Autre bout du monde partie 2 et elle ne l'a pas fait. Je respecte ça.
En avril 2007, j'avais aimé Pays sauvage et Songes à la première écoute. Aujourd'hui encore, elles font partie des mes préférées. Mentions spéciales également à Fais battre ton tambour, In our dream, Tell me that you don't cry, Sister et La femme à barbe.

Rod a écrit:

donc apres avoir ingurgité l'album (que jevais chroniquer des que j'ai mon appart ...)

Ma Maison est ma préférée et de loin.

C'est parce que tu cherches un nooveau nid que tu es sensible à la chaleur douillette de "Sa maison" ??

Une tendresse spéciale pour 'In our dreams' et 'Ma maison'.

Juste parce que je viens de lire ceci:

Comment se profile le spectacle?
On va être cinq, on y travaille. J'ai hâte de venir montrer tout ça! Ce sera assez explosif, tout en gardant beaucoup de l'âme du premier spectacle. On travaille sur la scénographie; pour moi, c'est important.

Cette information donnée dans une interview ici... Plus qu'à attendre maintenant... Vous nous direz ça, vous, les chanceux à la voir en concert très prochainement...