Vélizy :
rien que dans l'écriture du lieu avec Y et Z est un lieu pour Lady Emily.
L'onde cathédrale moderne entre la voie rapide et les habitations alignées.
Accueil sympa, public varié.
Pour patienter (il faut que je traverse d'Est en Ouest) je fais le tour du théatre et "admire" la dextérité d'une partie de foot improvisée entre musiciens (Olivier, Cyril...). Ils sont meilleurs musiciens que footeux
heureusement
Pendant que le public s'installe la salle est sonorisée de piaillements d'oizeaux et de crissements de grillons. Hazard ou clin d'oeil?
Dernier concert "parisien" de la tournée
que "me" réserve-t'elle comme surprises.
Emily à la voix un peu cassée (elle rentre de la veille des 'Françoises' du printemps de Bourges).
La liste de chansons est maintenant "figée".
Des ondulations "Flamenco" sur 'Fais battre ton tambour'.
Le Puyalton lui donne une respiration et amuse. "Grand" moment pour François avec le "Piano chenille".
I'm sorry that you cried très intense et qui a suscité de longs applaudissements.
La magie de 'Songes' en douce lumière et le délicat glissement (sans applaudissement entre) vers Pays sauvages avec un solo "avec des sonorités andalouse" d'Olivier. J'ai sentit beaucoup d'intensité dans cet enchainement.
De l'album il manque In our dreams.
Lady Emily est une Grande Dame en noir.
Un coucou à Enora, qui propose à la vente hormis les albums; des tee-shirts, des babigro, l'achat pour moi d'un sac en coton équitable.
Dernier concert de l'Emily-année 2010.
A bientôt Emily.